


Août 2023 (dates à venir)
KING LEAR I Fabrique et destruction après Shakespeare
reprise de la Création 2022
Ecriture, traduction et adaptation Philippe Vincent
Un spectacle paysage en lien avec la Fabrique Lear et les ateliers d'écriture 2022
Durée : 1h45

ANDROMAQUE à L'infini
"Tout se reflète dans le théâtre de Racine, c'est un abîme infini !"
Texte Jean Racine - Mise en scène Gwenaël Morin
Collaboration artistique Barbara Jung / Collaboration technique Jules Guittier
Avec Sonia Harboub, Mehdi Limam et Emika Maruta
Gwenaël Morin, habitué aux relectures insolites des grands classiques, adapte ce texte, en démonte la structure et joue des alexandrins pour en vivre la musique et la ponctuation. Dans une scénographie dépouillée, il se lance sur scène avec les acteurs de Ier Acte dans une aventure racinienne renouvelée, réinventée et redécouverte à l’infini

PUISSANCE DE LA DOUCEUR
D'après le texte d'Anne Dufourmantelle
Leïla Brahimi / Comédienne
Loris Gemignani / Créateur Lumière
Philippe Labaune / Metteur en scène - Auteur
La forme proposée est simple. Nous avons travaillé à partir d’extraits du livre d’Anne Dufourmantelle que nous avons réécrits en une langue plus vive et adressée. Le spectacle c’est une actrice, un micro, un tournedisque, quelques objets ici et là, et juste ce qu’il faut de projecteurs pour éclairer un espace dans la nuit. La voix et la musique ensemble pour flotter dans les perspectives. Schumann et Eno avec nous. Un spectacle ici et là-bas. Sous les arbres. Un spectacle où l’imaginaire et le réel s’accordent. Un spectacle comme un cœur d’enfant. Ce spectacle est un acte de partage le plus doux qui soit.


TRANSFORMATIONS - Improvisation partagée
Avec les danseuses Mayalen Otondo,
Caroline Chaumont et Marie Tiffaine Urvoy
Mayalen Otondo a mis en oeuvre un protocole d’improvisation qui consiste à faire choisir au public des mots, supports de nos improvisations. Les mots sont choisis sur la base d’une longue liste de thèmes, de mots glanés au fil des mois pour enrichir le travail de recherche. L’improvisation, d’une quarantaine de minutes, se déploie alors de manière brute à partir de leurs propres mots. Nous investissons les espaces à disposition : pré, grange, greniers, cabanes, studios, chemins. Le public est mobile et suit les parcours d’improvisation. Il peut aussi rester sur place et nous regarder évoluer de plus loin. Cela engendre une grande attention, surprise et curiosité du public qui prend part au processus de recherche et à la fabrique de création.
